Une peluche géante dans une décharge sauvage derrière un crématorium. J'étais en avance à une crémation, je suis allé marcher dans les environs, je suis tombé sur cette chose.
La galerie tampographique ouvrira fin novembre. Pas moyen de faire plus vite. J'ai refait le local, la peinture, les boiseries extérieures, les meubles, les lumières, les enduits, je me suis découvert des dons de bricoleur, mais hélas pas de magicien: je suis à la bourre. Il me reste un mois pour tout terminer, autant dire un battement de cil. Je fabrique des tampons géants, je découvre les joies des élastomères et du silicone, je me suis niqué le dos en faisant le film de démonstration que j'ai mis en ligne dernièrement, je m'envoie en l'air à l'Efferalgan codéïné pour faire passer la douleur et je me lève à 5h du matin pour boire du café en relisant la liste de tout ce que je n'aurai pas le temps de faire.